In the picture

Focus sur Hong Kong!

Focus sur Hong Kong, ville contraste

Par Eve Barthélémy

Cela faisait plusieurs années que nous étions invités par le Hong Kong Trade Development Council (HKTDC) qui organise chaque année en mars, le Hong Kong International Jewellery Show. Cette date n’étant pas compatible avec le calendrier de sortie du Belgo Bijoux, c’est en avril que nous décidons de nous envoler pour cette ville si attirante et mystérieuse à la fois.

[ngg_images source= »galleries » container_ids= »8″ exclusions= »76″ display_type= »photocrati-nextgen_basic_slideshow » gallery_width= »400″ cycle_effect= »fade » cycle_interval= »10″ show_thumbnail_link= »1″ thumbnail_link_text= »[Montrer sous forme de vignettes] » order_by= »sortorder » order_direction= »ASC » returns= »included » maximum_entity_count= »500″]

Premières impressions

Nous voici embarqués dans une des plus réputées compagnies aériennes, la Cathay Pacific. Les hôtesses sont de jolies asiatiques très serviables. Le vol de plus de onze heures va se passer sans aucun souci. Dès l’atterrissage, nous sommes frappés par la propreté et le nombre de boutiques de luxe installées dans l’aéroport. Organisation impeccable, tout est réglé au cordeau.

Arrivés à « Central », quartier historique sur l’îles de Hong Kong, au pied de tours de verre, nous découvrons des rues piétonnes animées par des marchés locaux d’un autre temps. Durant notre séjour, nous naviguerons entre l’ancien et le moderne, la tradition et l’innovation, le Yin et le Yang.

Aujourd’hui, les hongkongais sont principalement confrontés au manque de place et au coût des logements qui en dépend. Les bâtiments de plus en plus hauts se sont construits sur le flanc des montagnes pour loger une population grandissante.

Les salles de bains se réduisent à une douche au-dessus des toilettes et la cuisine se limite à un évier et une armoire pour y ranger un peu de vaisselle. Le reste des pièces sont petites mais fonctionnelles.

Au final, les hongkongais cuisinent peu et préfèrent manger à l’extérieur. Il y a des milliers de restaurants de toutes origines cantonaises, pékinoises, vietnamiennes, thaïlandaises, coréennes, japonaises et il est très facile de manger à l’extérieur pour pas cher. Peu importe l’heure, de 7 heures du matin à 23 heures, les rues grouillent de monde, n’importe quel jour de la semaine. La majorité des magasins ne ferment pas avant 21 heures car les employés de bureau travaillent tard…

Hong Kong, ville propice au commerce

Hong Kong, ancienne colonie britannique, est devenue depuis 1997 une Région Administrative Spéciale (RAS) de la Chine. Elle a gardé son statut de port franc, ce qui fait que les prix exempts de taxe ont toujours été propices au commerce et aux échanges internationaux.

Voici quelques points qui me paraissent importants :

– un pouvoir d’achat élevé

Selon le rapport du FMI datant d’octobre 2015, le classement par pays en matière de pouvoir d’achat donne le classement partiel suivant : Le GD du Luxembourg est en 2ème position, Hong Kong en 10ème, la Belgique en 25ème et la France en 27ème position.

– le secteur tertiaire au cœur de l’activité économique

Autrefois, Hong Kong s’était avant tout développée autour de son port commercial. Dans les années 1950, l’industrie et particulièrement le textile avait pris le dessus. C’est dans les années 1970, que les services se développèrent…

« Le secteur tertiaire, en particulier les services financiers, est le coeur de l’activité économique ; il contribue à 93% du PIB et emploie presque 80% de la population active. Hong Kong est un centre de services pour les entreprises asiatiques, notamment pour celles qui commercent avec la Chine. Selon les chiffres publiés par le Registre du Commerce, il y a plus de 900.000 sociétés enregistrées à Hong Kong…. »
(source :http://www.bmcetrade.co.ma/fr/observer-les-pays/hong-kong/contexte-politique?)

– des touristes de plus en plus nombreux

La ville surnommée le « supermarché de luxe » attire en priorité les touristes chinois qui y font leur shopping avant d’aller en Europe. Il faut dire que, même si les choses sont en train d’évoluer, très peu de chinois disposent d’un visa, 5 % seulement contre 50 % des américains par exemple.

– une consommation interne soutenue

Les milliers de commerces et restaurants vivent grâce à une population active au fort pouvoir d’achat (le taux de chômage tourne autour de 3,4 %) qui consomment mais pas n’importe comment !

La décision d’achat des consommateurs de Hong Kong est déterminée par le prix, la qualité, les spécificités techniques du produit et le service après-vente. Les marques sont choisies pour leur gage de sécurité.

Anglophones et ouverts à la culture occidentale, les hongkongais n’ont pas de préférence entre pour les produits nationaux. En termes de marketing, les marques vont choisir des égéries asiatiques autant que des célébrités occidentales.

Les hongkongais sont des consommateurs bien informés. Ils aiment les produits innovants qui sont en règle générale des produits coréens ou japonais. Les consommateurs se préoccupent de leur santé et de leur bien-être.

Des bijouteries et horlogeries de luxe à profusion !

Les hongkongais prennent soin d’eux et aiment les bijoux !

« La classe moyenne est importante (30% de la population) et la population très préoccupée par l’aspect extérieur. Les femmes aiment les bijoux précieux et 55 % des Hongkongaises possèdent un diamant. Les hommes ont un fort pouvoir d’achat et sont soucieux d’affirmer leur statut social. »
(extrait d’un document du Service du Commerce Extérieur (9/11/2010)

Impressionnant le nombre de boutiques de luxe !
Je n’ai jamais vu une telle concentration de magasins bijouteries-horlogeries, de boutiques Rolex, Piaget, Mikimoto, Cartier et j’en passe.
Sur le site officiel de Rolex, j’ai compté plus de 40 boutiques à Hong Kong sans compter Macau. Pour Longines, j’ai compté 15 boutiques propres et 30 bijoutiers-horlogers. Les plus grandes marques européennes sont présentes dans de beaucoup de centres commerciaux qui sont également très nombreux …

J’ai aussi été voir une des boutiques de la jeune marque belge Diamanti per Tutti (www.diamantipertutti.com), qui possède trois boutiques propres à Hong Kong, une à Pékin, une à Anvers et une à Gand. La marque est également revendue à travers des bijoutiers dans le monde entier.

Les chinois achètent essentiellement les marques européennes pour la notoriété, la qualité et le prix. Mais le vent est en train de tourner. Les marques chinoises et hongkongaises reprennent le dessus en proposant des articles de qualité supérieure à des bons prix.

La bijouterie hongkongaise, une histoire de plus de 70 ans

Les consommateurs hongkongais apprécient tout particulièrement les articles en jade et les bijoux en or 24 carats. Ces derniers sont considérés comme des actifs financiers pouvant faire partie d’une dot.

Les bijoux en jade et les articles en or au design asiatique sont essentiellement proposés par les bijouteries ou chaînes de bijouteries autochtones.

Le jade habituellement proposé est vert. Le prix de celui-ci varie en fonction de sa couleur. Plus le jade est d’un vert soutenu, plus il est cher. Il y a certainement d’autres critères de qualité que vous trouverez dans l’article de Sarah Boidart qui suit.

Il existe un marché du jade que je n’ai pas visité et qui, paraît-il est moins fiable. Ce serait plutôt un piège à touristes selon les rumeurs…

Voici trois marques de bijouterie les plus représentatives :

Emperor Watch & Jewellery

La chaîne Emperor Watch & Jewellery créé il y a 75 ans, a son flagship dans le très beau quartier « 1881 Heritage »  et dans la Canton Road, à côté des Piaget, Van Cleef & Arpels, Fendi, Mikimoto, etc…  La boutique est très luxueuse et l’offre en jade y est impressionnante !

www.emperorwatchjewellery.com

Chow Sang Sang

Le groupe Chow Sang Sang existe depuis 1934. Dès 1960, le groupe géré par trois frères décide de vendre dans ses bijouteries en plus de l’or, son activité initiale, du jade, des diamants et des perles. Aujourd’hui, les bijouteries sont à Hong Kong, Macao, Taiwan et en très grand nombre en Chine.

www.chowsangsang.com

Chow Tai Fook

Le groupe Chow Tai Fook, qui compte aujourd’hui près de 2500 magasins a ouvert sa première bijouterie à Macao en 1938 et à Hong Kong l’année suivante. En 1998, la première boutique Chow Tai Fook ouvre à Pékin.  En 2002, plus de 100 boutiques sont ouvertes en Chine continentale… L’expansion de la marque continue en Asie et en avril de cette année, l’enseigne a ouvert sa deuxième boutique aux Etats-Unis. La première à New York et la seconde à Hawaii.

http://www.chowtaifook.com/en/

Rencontre inattendue à Macau

Lors de notre visite dans la vieille ville de Macau (ancienne colonie portugaise, appartenant aujourd’hui à la Chine en tant que RAS) et toujours à l’affût des bijoux en jade, nous sommes tombés par hasard sur une boutique aux vitrines sortant de l’ordinaire. Loin des chaînes de bijouteries formatées, j’ai eu envie d’en savoir plus sur ce sculpteur de jade.

He Jianguo n’a pas encore cinquante ans et sculpte le jade depuis toujours. Il fabrique des bijoux et sculpte également des petits objets décoratifs comme des buffles d’eau. Il utilise du jade vert, mauve ou brun. Il est apparemment réputé car il nous a montré une vidéo où on lui remettait un prix. Le hasard a décidément bien fait les choses !

Petite anecdote. He Jainguo, ne parlant pas anglais, et nous pas le chinois, c’est « google translate vocale » installé sur nos smartphones qui nous a servi de traducteur simultané !
On n’arrête pas le progrès !

En conclusion

Pour certaines grandes maisons de luxe, Hong Kong a constitué pendant des années la zone géographique la plus rentable du monde « avec le chiffre d’affaires par mètre carré de boutique le plus haut », comme le souligne Erwan Rambourg, spécialiste du marché du luxe chez HSBC.

Hong Kong représente toujours 10 % des ventes mondiales du luxe mais souffre aujourd’hui de la concurrence de la Corée et du Japon…

Hong Kong est une ville fascinante en perpétuelle compétition 

 

 

In the picture nl

Hongkong, stad van contrasten

Hongkong, stad van contrasten

door Eve Barthélémy

Al meermaals kregen we een uitnodiging in de bus van de Hong Kong Trade Development Council (HKTDC), die ieder jaar in maart de Hong Kong International Jewellery Show organiseert. Helaas valt die periode samen met de uitgifte van het jaarboek Belgo Bijoux en dus besloten we om in april naar die aanlokkelijke en tegelijk mysterieuze stad te reizen.

[ngg_images source= »galleries » container_ids= »8″ exclusions= »76″ display_type= »photocrati-nextgen_basic_slideshow » gallery_width= »400″ cycle_effect= »fade » cycle_interval= »10″ show_thumbnail_link= »1″ thumbnail_link_text= »[Montrer sous forme de vignettes] » order_by= »sortorder » order_direction= »ASC » returns= »included » maximum_entity_count= »500″]

Eerste indrukken

De vliegreis ondernamen we aan boord van één van de meest vermaarde luchtvaartmaatschappijen, Cathay Pacific, waar we genoten van de service van de knappe, immer behulpzame Aziatische stewardessen. Na een vlekkeloze vlucht van meer dan elf uur vielen ons bij aankomst op de luchthaven van Hongkong meteen de netheid en de vele luxeboetieks op. Alles is er perfect georganiseerd en zeer ordelijk op elkaar afgestemd.

In Central, de historische wijk op de eilanden van Hongkong in de schaduw van de wolkenkrabbers, ontdekten we autovrije straatjes in een gezellige drukte met lokale markten die de sfeer van vroeger uitademen. Tijdens ons verblijf schipperden we zo voortdurend tussen oud en modern, tussen traditie en innovatie, tussen yin en yang.

Tegenwoordig hebben de inwoners van Hongkong vooral te kampen met plaatsgebrek en hoge huisvestingskosten. Op de bergflanken wordt steeds meer in de hoogte gebouwd om de groeiende bevolking onderdak te kunnen bieden.

Een badkamer is er niet meer dan een douche boven de wc en in de keuken valt naast een gootsteen hoogstens nog een kast voor wat vaatwerk te bespeuren. De overige kamers zijn klein maar functioneel.

Feit is dat de mensen in Hongkong niet vaak koken en liever uit eten gaan. Er zijn duizenden restaurants te vinden die gespecialiseerd zijn in de Kantonese, Pekinese, Vietnamese, Thaise, Koreaanse, Japanse, … keuken en je kan heel makkelijk voor weinig geld iets te eten vinden. Van ‘s morgens vroeg tot ‘s avonds laat, tijdens de week en in het weekend, krioelt het in de straten van de mensen. De meeste winkels sluiten niet vóór 21 uur want kantoorbedienden werken tot laat op de avond…

Hongkong, alles in het teken van handel

Hongkong, een voormalige Britse kolonie, is sinds 1997 een Speciale Administratieve Regio (SAR) van China. De stad heeft zijn statuut van vrijhaven behouden en bijgevolg hebben de belastingvrije prijzen het internationale handelsverkeer altijd aangezwengeld.

Hierna enkele aspecten die mij belangrijk lijken:

– een hoge koopkracht

Volgens het rapport van het IMF uit oktober 2015 ziet de – gedeeltelijke – rangschikking van landen op basis van koopkracht er als volgt uit: het Groothertogdom Luxemburg staat op de 2de plaats, Hongkong op de 10de, België op de 25ste en Frankrijk op de 27ste plaats.

– de tertiaire sector als motor van de economie

Destijds ontwikkelde Hongkong zich vooral rond zijn handelshaven. In de jaren 1950 nam de industrie en dan vooral de textielnijverheid de bovenhand. Vanaf de jaren 1970 begon de dienstensector zich te ontwikkelen…

Volgens de website www.bmcetrade.co.ma is de tertiaire sector, en dan vooral de financiële dienstverlening, er de motor van de economie: deze neemt 93% van het BBP en zowat 80% van de actieve beroepsbevolking voor zijn rekening. Hongkong is een dienstencentrum voor Aziatische bedrijven, met name voor zij die handel drijven met China. Volgens cijfers van het handelsregister zijn er meer dan 900.000 bedrijven in Hongkong geregistreerd…

– steeds meer toeristen

De stad met de bijnaam “supermarkt van luxe” trekt hoofdzakelijk Chinese toeristen aan die er komen shoppen alvorens naar Europa te reizen. Het is immers zo dat, ook al zijn de zaken aan het veranderen, maar heel weinig Chinezen over een visum beschikken: slechts 5% tegenover 50% van de Amerikanen bijvoorbeeld.

– een grote binnenlandse consumptie

De vele duizenden winkels en restaurants leven van een actieve beroepsbevolking met een sterke koopkracht (de werkloosheidsgraad ligt rond de 3,4%) die gretig maar welbewust consumeert!

Bij hun aankopen laten de consumenten in Hongkong zich immers leiden door de prijs, de kwaliteit, de specifieke technische kenmerken van het product en de klantenservice. Merken worden er gekozen voor hun bewezen deugdelijkheid.

Inwoners van Hongkong, die Engelstalig zijn en openstaan voor de westerse cultuur, hebben geen bijzondere voorkeur voor binnenlandse producten. Bij hun marketing zullen de merken evenzeer kiezen voor Aziatische boegbeelden als voor westerse celebrities.

De consumenten zijn er goed geïnformeerd. Ze houden van vernieuwende producten, doorgaans van Koreaanse of Japanse herkomst. Als consumenten zijn ze bekommerd om hun gezondheid en welzijn.

Producenten van luxejuwelen en -horloges bij de vleet!

In Hongkong is verwennen nooit veraf en dus vallen juwelen in de smaak!

“Er is een brede middenklasse (30% van de bevolking) die erg begaan is met het uiterlijk. Vrouwen in Hongkong houden van kostbare juwelen en 55% van hen bezit een diamant. Mannen zijn kapitaalkrachtig en willen hun maatschappelijke status graag tonen.”
(uit een document van de dienst voor buitenlandse handel, 9/11/2010)

Een indrukwekkend aantal luxeboetieks!
Nog nooit heb ik zoveel juwelen- en horlogewinkels bijeen gezien, met boetieks van Rolex, Piaget, Mikimoto, Cartier en nog zoveel meer.
Op de officiële website van Rolex telde ik meer dan 40 boetieks in Hongkong, en dat is nog zonder Macau. Voor Longines telde ik 15 eigen boetieks en 30 juweliers-horlogemakers. De grootste Europese merken hebben een stek in de – eveneens zeer talrijke – winkelcentra…

Ik ben ook langsgeweest in één van de boetieks van het jonge Belgische merk Diamanti per Tutti (www.diamantipertutti.com), dat in Hongkong drie eigen boetieks heeft, en verder nog één in Beijing, één in Antwerpen en één in Gent. Het merk wordt ook aan de man gebracht via juweliers over de hele wereld.

Chinezen kopen de Europese merken voornamelijk voor de naamsbekendheid, de kwaliteit en de prijs. Maar het tij is aan het keren. Merken uit China en Hongkong nemen stilaan de bovenhand met artikelen van betere kwaliteit tegen scherpe prijzen.

De juwelenbranche in Hongkong, meer dan 70 jaar geschiedenis

Bij consumenten in Hongkong vallen artikelen in jade en juwelen in 24-karaats goud bijzonder in de smaak. Goud wordt er beschouwd als financiële belegging en kan deel uitmaken van een bruidsschat.

Juwelen in jade en gouden artikelen met Aziatisch design worden voornamelijk door binnenlandse juweliers of ketens van juwelenwinkels aangeboden.

De meest verkochte jade is groen. De prijs ervan hangt af van de kleur: hoe dieper de groene kleur van de jade is, hoe duurder. Er zijn uiteraard nog andere kwaliteitscriteria die te lezen zijn in het artikel van Sarah Boidart dat hierna volgt.

Er bestaat ook een jademarkt die ik niet heb bezocht en die blijkbaar minder betrouwbaar is. Volgens de geruchten is het eerder een toeristenval…

Hier volgen de drie meest representatieve juwelenmerken:

Emperor Watch & Jewellery

De keten Emperor Watch & Jewellery bestaat al 75 jaar en heeft zijn ‘flagship store’ in Canton Road, in de zeer mooie wijk 1881 Heritage, naast Piaget, Van Cleef & Arpels, Fendi, Mikimoto, enz. Het is een erg luxueuze boetiek met een indrukwekkend aanbod aan jade!

www.emperorwatchjewellery.com

Chow Sang Sang

De groep Chow Sang Sang bestaat al sinds 1934. Vanaf 1960 heeft de groep, die door drie broers wordt geleid, besloten om in zijn juwelenzaken naast goud – de oorspronkelijke activiteit – ook jade, diamanten en parels te verkopen. Vandaag telt de groep winkels in Hongkong, Macau, Taiwan en een zeer groot aantal in China.

www.chowsangsang.com

Chow Tai Fook

De groep Chow Tai Fook, die op dit ogenblik zo’n 2.500 winkels telt, opende zijn eerste juwelenzaak in 1938 in Macau en een tweede het jaar daarop in Hongkong. In 1998 ging de eerste boetiek van Chow Tai Fook in Beijing open. Tegen 2002 telde de groep al meer dan 100 boetieks op het Chinese vasteland… Het merk bleef zich verder uitbreiden in Azië en in april van dit jaar opende het merk zijn tweede boetiek in de Verenigde Staten. De eerste bevindt zich in New York, de tweede in Hawaï.

http://www.chowtaifook.com/en/

Onverwachte ontmoeting in Macau

Tijdens ons bezoek aan de oude stad van Macau (voormalige Portugese kolonie die vandaag als SAR tot China behoort) – en nog steeds op zoek naar juwelen in jade – botsten we bij toeval op een boetiek met erg ongewone uitstalramen. Dit was allesbehalve een standaard juwelenwinkel en ik wou dan ook graag meer weten over deze jadebewerker.

He Jianguo is nog geen 50 jaar oud en bewerkt al zijn hele leven jade. Hij maakt juwelen en snijdt ook kleine decoratieve voorwerpen uit jade, zoals waterbuffels. Hij gebruikt groene, paarse en bruine jade. Hij is blijkbaar beroemd want hij toonde ons een filmpje waarin hij een prijs overhandigd kreeg. Het toeval heeft ons hier flink geholpen!

Nog een kleine anekdote: aangezien He Jainguo geen Engels sprak en wij geen Chinees, hebben we op onze smartphones Google Translate met spraakherkenning gebruikt om simultaanvertaling te hebben!
De vooruitgang kent geen grenzen meer!

Tot besluit

Voor sommige grote luxehuizen vormde Hongkong jarenlang het meest rendabele geografische gebied ter wereld “met de grootste omzet per vierkante meter boetiek”, aldus Erwan Rambourg, specialist van de luxemarkt bij HSBC.

Hongkong is nog altijd goed voor 10% van de wereldwijde verkoop van luxeartikelen maar heeft vandaag de dag te lijden onder de concurrentie van Korea en Japan…

Hongkong is een fascinerende stad waar de concurrentiestrijd nooit ophoudt!

 

Gérante et fondatrice du magazine Jewels & Watches Info, magazine professionnel édité pour la Belgique et le Grand Duché du Luxembourg